(René Descartes)Pour examiner la vérité, il est besoin dans sa vie de mettre toutes choses en doute autant qu'il se peut.
Pour faire bref à propos de cet événement majeur survenu le 11 septembre 2001 sur le territoire américain ,la version officielle
de l'administration Bush en 2004 dénonce dès ce jour là, un complot, c'est à dire une conspiration d'islamistes fanatiques sous
la houlette de Ben Laden.
Enquêtes et déclarations à la clé s'appuieront depuis cette date sur une théorie de complot qui ne variera jamais. Soit .
A partir de ce moment, on voit mal pourquoi on mettrait en doute les arguments avancés par les tenants de cette thèse ,les faits
étant ce qu'ils sont : 4 avions, pilotés par des pirates, se sont abattus sur le WTCenter et le Pentagone occasionnant des milliers de morts.
Circulez y a rien à voir.
A cette théotie du complot répondra une autre théorie qualifiée aussi de complot celle qui consiste à dire que l'opinion
publique étatsunienne ne voulait pas d'un second Vietnam. Avec cette agression invraisemblable, les portes étaient alors ouvertes
aux "options belliqueuses" au nom de Dieu qui protège l'Amérique et que seule "une guerre sainte" (déclaration de Bush)pouvait
laver dans le sang , la guerre d'Irak. De plus grâce à cette guerre providentielle , il allait être démontré que des armes de
destruction massive existaient bien entre les mains de celui qui allait être aussi qualifié de démon , Saddam Hussein, pourfendeur
des valeurs morales et spirituelles de l'Occident.Bien entendu comme l'a déclaré en 2017 Gordon Brown Premier ministre
anglais jusqu'en 2010, le Pentagone a volontairement menti au sujet de l'existence d'armes de destruction massive.Il fallait
bien entrainer l'adhésion du peuple américain ainsi que celle d'une grande partie de l'opinion internationale.
De là à dire que tout ce qui a été vécu le jour du 11 septembre 2001, que ces attentats contre le peuple américain ,est le
fruit d'une machination perpétréé par l'administration Bush afin de mieux garantir des intérêts privés , certains franchiront
le pas allègrement, avec justesse et non sans raison semble t'il.
Entendons nous bien le jour du 11 septembre 2001 est un complot mené par des communautés religieuses au nom de Dieu,suivi
d'un "second complot" qui entrainera l'Amérique dans une guerre voulue aussi par Dieu (mais pas le même), avec comme
conséquence:
En Irak le nombre de morts entre mars 2003 et août 2007 est « susceptible d'être de l'ordre de 1 033 000 », avec une fourchette de 946 000 à 1,12 million de morts.
La guerre a provoqué l'exode d'au moins deux millions d'Irakiens.
Linda Bilmes et Joseph Eugene Stiglitz (« prix Nobel » d'économie en 2001), deux chercheurs de Harvard et Columbia, ont quantifié les coûts du conflit à 2 267 milliards de $ payés par le contribuable américain.
Comme quoi évoquer la journée du 11 septembre 2001 dans une étude consacrée à l'existence ou non de Dieu à toute sa place.
Enfin selon des révélations de l'ancien secrétaire au Trésor Paul O'Neill, reprises par le journaliste Ronald Suskind
(The Price of Loyalty), le Conseil national de sécurité de la Maison-Blanche discutait un Plan pour l'Irak après Saddam
dès le mois de février 2001, soit quelques semaines après l'arrivée à la présidence de G.W. Bush, et bien avant l'attentat
du 11 septembre. Selon ce témoin, « Bush voulait chasser Saddam Hussein à n'importe quel prix.»
Une croisade donc voulue par les plus hautes instances des Etats Unis et des néoconservateurs , chèrement payée.
Mais très vite les tenants de la version officielle se sont trouvés confrontés à une vague d'observateurs, d'experts sérieux, compétents,
désinteressés qui n'ont pas manqué de mettre en évidence les incohérences de la théorie de l'administration Bush c'est à dire
"la version officielle" telle qu'on la connait aujourd'hui et qui interdit à tout citoyen américain de la remettre
en question sous peine de condamnation exemplaire.(Patriot Act)
Dans les lignes qui vont suivre nous nous attacherons à mettre en évidence les omissions,les contre-vérités,les incohérences
de ce rapport officiel dont le seul but est peut être de justifier l'intervention américaine afin de faire main basse sur le Golfe
Persique et établir des bases là où le pétrole coule à flot? Nous douterons donc à la manière de Descartes sans être complotiste
avec pour seule arme de mettre nos neurones en ordre de bataille.
Le Norad ,North American Aerospace Defense Command organisation américano-canadienne a pour rôle de faire décoller
immédiatement des chasseurs F15 ou F16( à l'époque) pour intercepter des avions en cas d'urgences suspectes.En 2000
425 incidents plus ou moins graves ont été répertoriés au dessus des states dont 129 "très tendus" nécessitant l'information parfois très
rapide en haut lieu , Pentagone et Maison Blanche afin de discuter de l'action à mener à savoir la destruction des appareils incriminés
.A chacune de ces 425 occasions le Norad n'a jamais été pris en défaut.Alors une question s'impose:
comment se fait-il que
4 Boeing détournés sur une péridode de près de deux heures n'aient pas connu la même réactivité de la part des hautes autorités?
Il est vrai que ce jour là Bush visitait une école en Floride et restera près de 10mn sur sa chaise d'école à écouter les enfants lui lire
une histoire bien que prévenu de la deuxième attaque sur le WTC.
Aucun des avions de chasse ayant été mis en oeuvre ce jour là,ne réussit à intercepter les vols détournés.Certains avions n'étaient même
pas armés.
Le NORAD déclara que cette faillite majeure du système de protection de l'espace aérien était due aux délais de transmission des
incidents de vol ou à leur non-transmission.(SIC)Il est vrai que pour ne rien arranger,on est en pleine simulation annuelle
d'attaque nucléaire russe.Tout le monde est donc en alerte, mais personne ne sait réagir à temps.
Reprenant les données du NORAD, la Commission Kean exposa que les militaires auraient été avertis quelques minutes seulement avant
les crashs des vols 11 et 175,ceux des deux tours jumelles et après les impacts pour les autres.
L'échec du NORAD n'empêcha pas cependant à de hauts responsables, tels les généraux Eberhard et Myers, d'être confirmés dans leurs fonctions
, voire promus. Cet échec fut aggravé par le fait que le WTC avait été reconnu comme cible privilégiée dès l'explosion du camion chargé
d'explosifs de 1993 mais aussi par le fait que durant les deux années précédant les attentats, le NORAD effectua des exercices dans
lesquels des avions de ligne détournés étaient utilisés contre divers objectifs, dont le WTC.(Wikipedia)
En 1994, un expert commandité par le Pentagone (Article du magazine Futurist, rapporté dans l'article « Before Attack, U.S. Expected Different Hit » [archive] publié dans le Washington Post du 2 octobre 2001.) soulignait la valeur symbolique des tours et envisageait qu'une attaque terroriste consisterait certainement en « des actions multiples et simultanées ». Comme nous l'avons vu le NORAD savait aussi. Par ailleurs, les services de renseignement de plusieurs pays, européens entre autres, avaient plusieurs mois auparavant prévenu leurs homologues américains d'une préparation de détournements d'avions civils sur le territoire des États-Unis.En France le rapport de la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis relate que la menace terroriste en utilisant des avions était envisageable. Alors que pensez des déclarations suivantes:
Ari Fleischer, porte-parole de la Maison Blanche point presse 12 septembre 2001 "Il est claire que quelque chose d'imprévu s'est passé hier à New York. Nous n'avions aucune information à ce propos."
Georges Bush, conférence de presse 14 septembre 2001:"Personne de notre gouvernement ou du précédent , ne pouvait prévoir que des avions détournés, se crasheraient dans des buildings, à une échelle aussi massive."
Dick Cheney, vice président des USA le 16 septembre 2001:"Il n'y avait pas de menace particulière sur une opération terroriste interne avec des avions de ligne détournés."
Robert Muller directeur du FBI le 17 septembre 2001 ;"je n'ai eu connaissance d'aucun avertissement sur ce type d'opération dans le pays."
Pour les plus hautes instances des Etats-Unis , il est clair que les terribles attentats du 11 septembre étaient absolument imprévisibles. Et pourtant les services de Robert Muller , patron du FBI conseillaient au Ministre d la Justice John Asheroft, un mois et demi plus tôt de ne plus prendre d'avions de ligne.Le New York Post dans sa une du 19 mai 2002 n'hésite pas à titrer en grand , "Bush savait", suivi par CBS et les autres médias. Bush Président des Etats Unis d'Amérique a donc menti à son peuple ?
À 8 h 20, le vol American Airlines 77, un Boeing 757 avec cinquante-huit passagers et six membres d'équipage, décolla avec dix minutes
de retard de l'aéroport international de Washington-Dulles à Dulles en Virginie, près de Washington, pour Los Angeles.
Après une demi-heure de vol, l'avion fut détourné à 8 h 53 . À 8 h 56, le transpondeur de l'appareil est coupé. Le FAA headquarters fut
alerté du détournement du vol à 9 h 25, soit vingt-sept minutes après sa disparition. Puis à 9 h 34, le NEADS fut prévenu, au même moment l'avion commença
un virage de 330 degrés avant de s'écraser sur la partie ouest du Pentagone à 9 h 37, après quarante-quatre minutes de détournement. Le crash tua
les soixante-quatre personnes à bord du vol AA77 ainsi que cent vingt-cinq personnes dans le Pentagone.
Il est à noter que tant la compagnie aérienne, que l'aéroport , que les reponsables de la sécurité ne divulguèrent qui se trouvait à bord de l'appareil
, le FBI ayant demander de ne rien dire aux médias.
Une question se pose dès lors : comment la défense aérienne du site du Pentagone probablement l'un des endroits les plus inaccessibles et des plus
sécurisés du monde appartenant à l'armée la plus redoutable de la planète dotée des technologies les plus avancées,comment un simple Boeing 757 at'il pu
passer entre les mailles du filet tendu autour de cet endroit inattaquable et échappé aux radars, civils et miliaires ? On vous répondra que l'aéronef
faisait du ras motte. Il est vrai que faire du ras motte avec un avion pesant plus de 100 t à plus de 800 km/h et piloté par
un novice est monnaie courante à cette époque(sic) ...
Une autre question: pourquoi les batteries de missiles sol-air
sont-elles restées muettes alors qu'elles sont déclenchées automatiquement et programmées pour lacher leur munitions meutrières quelque soit les
circonstances ? Sauf si l'objet aérien émet un signal "ami" codé changé tous les jours qui désactive les systèmes de défenses.
Quatre jour après cet évènement Jim Michell de la Radio WBZ Boston interwieue Victoria Clarke secrétaire adjointe de la défense dans le but de lui faire
raconter ce qu'elle a vécu.Et voilà ce qu'elle dit:"Eh bien, l'instant le plus terrible se situe tôt vers 8h40-8h45 quand nous avons
réalisé qu'un avion
puis un autre avait frappé la World Trade Center ...La numéro 2 du Pentagone sait donc déjà qu'à 8h40-45 un avion a heurté une première
tour en réalité 8h46 et
la seconde tour en réalité 9h03.Pour le premier crash une erreur de 1 voire 5 mn est possible mais pour le second crash là cela devient compliqué ,
d'autant plus que pour beaucoup d'observateurs l'écrasement sur la tour nord relevait de l'accident . La prise de conscience d'un attentat
n'apparait qu'après la collision avec la seconde tour.Donc théoriquement Victoria Clarke ne peut savoir que des attentats sont en train de
se produire , et son attitude est stupéfiante et pourtant ... comme est également douteux le
comportement de Donald Rumsfeld
Ministre de la défense qui sort de son bureau 41 mn plus tard après le crash au Pentagone pour courir au secours des blessés de l'autre côté
de l'immense bâtiment en criant qu'il n'y a aucun doute c'est bien encore un avion de ligne qui a frappé l'Amérique, les débris et
les pièces de métal prouvant la véracité de ses dires...Sa place n'était-elle pas d'aller se réfugier dans le bunker situé sous le Pentagone
afin de coordonner les systèmes de défense,en coopération directe avec la Maison Blanche, les forces armées,et la FAA ? Et pourtant ...lui
aussi Donald Rumsfeld n°1 de la Défense.
Au moment de l'attaque des deux tours jumelles Bush est en Floride et ne bronche pas immédiatement quand on lui apprend l'attaque da la
tour sud puis celle de la tour nord. Le vice - président Dick Cheney est par conséquent à la Maison Blanche. Il est aussitôt dès la première
attaque emmené dans le bunker de protection selon ses propres propos divulgués à la chaîne NBC .On peut donc imaginer que ce dernier est à l'abri
avant 9h.Si les services de sécurité ont
attendu le deuxième attentat à 9h03 ,Cheney est dans le PEOC (bunker de la maison blanche) avant 9h15 c'est à dire avant Mineta donc.
Norman Mineta est un ministre de l'administration Bush qui témoignant devant la commission d'enquête le 23 mai 2003 déclare qu'a 9h26 heure à laquelle
il arrive dans le bunker Dick Cheney ne donne
aucune consigne lorsqu'un "jeune homme " arrive et annonce au vice-président de minute en minute qu'un avion se rapproche dangereusement du Pentagone , laissant
ainsi passer un danger imminent . Pourquoi le vice-président n'a t'il pas donné l'ordre d'abattre le Boeing en question alors que cela faisait au moins
30mn que l'alerte maximum était donnée? Et pourtant lui aussi, David Cheney, vice-président ...
Le moindre que l'on puisse dire est que les déclarations ou les attitudes surréalistes de ces personnalités de premier plan, témoignent, d'une désinvolture
voire pire face aux évènements de ce 11 septembre 2001. Tous ces témoignages ne seront pas repris dans le rapport de la commission d'enquête.
Plus tard on apprendra que l'arrivée de Dick Cheney au Centre de commandement n'a été enrgistrée qu'à 9h58.On comprend mieux ainsi
pourquoi(1... )
(2...)
Le 11 septembre 2001 à 9h37 Hani Hanjour pirate de l'air reconnu comme pilote du Boeing 757 AA77 plante cet appareil dans le flanc ouest du Pentagone selon un
angle de 45° renversant au passage 5 lampadaires de l'autoroute toute proche non sans avoir auparavant effectué un virage de 330°sous forme de boucle
descendante qui fera dire à la contrôleuse aérienne expérimentée de l'aéroport de Dulles qu'elle pensait, vu la vitesse et la manoeuvre du virage ,
qu'il s'agissait d'un avion militaire envoyé en patrouille pour protéger la présidence. Le NORAD a fait décoller à 9 h 30 trois chasseurs F-16
du 119th Fighter Wing du North Dakota ANG de la base aérienne de Langley, située à 210 km au sud de Washington. Selon la commission Kean, les trois F-16
ne furent jamais dirigés par leur base pour atteindre leur « cible », bien que le NEADS leur ait donné l'ordre de rejoindre Washington.
Ils y arrivèrent à 9 h 49,soit douze minutes après le crash du vol 77 dans le Pentagone. À 9 h 37 min 46 s, le vol 77 percute la façade ouest du Pentagone,
le seul secteur du complexe qui était en rénovation, à une vitesse de 850 km/h voire plus . Les travaux en cours sur le point de s'achever consistaient
principalement dans le renforcement de la structure de la façade (poteaux d'acier, couverture de kevlar) contre une éventuelle attaque terroriste.
La rangée de colonnes d'acier est détruite sur une largeur d'une dizaine de mètres ? selon certains voir plus pour d'autres à hauteur du rez-de-chaussée.
Tout un ensemble de colonnes de soutien
des étages en béton fut également détruit immédiatement en arrière de l'impact, mais aussi à une distance importante, sectionnées à la base, d'où
l'effondrement de la section d'étages une demi-heure plus tard. À cent mètres de l'impact, exactement dans l'axe de vol, une perforation circulaire de
2,3 mètres de diamètre avait été faite par le nez du Boeing , explique la Commission d'enquête dans le mur interne de l'anneau C du bâtiment.
Ouf , merci wikipedia.
Sachant que le nez en question est composé de matériaux composites beaucoup moins résistant que l'aluminium des ailes et du fuselage
et quand bien même il s'agirait d'aluminium, percer 6 murs (2 par corps de bâtiment) et terminer par un trou de la dimension d'une porte de garage parait ahurissant
.Et nous ne sommes pas au bout de nos surprises.
Des clichés pris par des militaires du Pentagone avant l'effondrement du sommet de l'édifice montrent que l'impact d'un Boeing d'une centaine de tonnes,
de 38m d'envergure et de 13,60 m de haut avec la queue, a provoqué une ouverture d'environ une trentaine de m sur 6 ou 7m de haut, le reste de la façade
bien que noirci étant
quasiment intact.
Ce qui est curieux c'est qu'il n'y avait aucune trace sur la pelouse (voir photo) dira Bob Pugh photographe et reporter arrivé très tôt sur les lieux
du crash .Rien de part et d'autre de l'impact central; quid des ailes ,du fuselage .des moteurs et des trains d'atterrissage ?
On vous répondra que suite à la violence du choc qui rappelons le , n'a pas été vertical, mais horizontal tout l'appareil s'est transformé en "paillettes".
ce qui expliquerait l'absence de débris sur la pelouse. Admettons . Mais alors comment expliquer que les boites noires du vol 77 retrouvées le 14 septembre
à 3 h 40 ,qui avaient l'enregistreur phonique du cockpit certes inutilisable mais l'enregistreur de paramètres seulement
"légèrement"endommagé (version officielle) ,ne se soient pas elles transformées en confettis ?
Rappelons que ces boites se trouvent à l'arrière de l'appareil et "sous la queue".
doc en PDF :les débris en question: debris1
debris2
debris3
debris4 .
Comme on le voit à la lumière de ce qui précède et notamment de la page 4 des "débris" , il y a des choses pour le moins surprenantes qui apparaissent lorsqu'on
s'intéresse de près à l'attentat du Pentagone.Mais poursuivons nos investigations.
Il existe plus de 130 témoignages visuels, qui confirment que l'avion était effectivement là, qu'il volait très bas et qu'il a bien explosé sur le Pentagone.
Le FBI a saisi 85 films de caméras de surveillance de la zone, n'en révélant qu'une partie, sur lesquels rien de totalement probant n'est hélas visible.
la justice a demandé à un agent assermenté du FBI, Jacqueline Maguire en 2005 de lui faire un compte-rendu de ces 85 vidéos.
Résultat : sur les 85 vidéos :
*72 ne montraient pas le Pentagone, ou ne montraient pas le site du crash ou l'impact de l'avion.
*13 montraient le site du crash, mais 12 ne le faisait qu'après l'impact, et une seule montrait le crash, celle du parking.
Comme on le voit les men in black ont bien fait leur travail ou plutôt celui qui leur était demandé. Au niveau des témoignages ils sont tout
aussi "crédibles " que ceux relatés par des dixaines de témoins ayant observé des OVNIS ; ils sont tout aussi qualifiés que dignes de foi.
Au niveau des vidéos ,là pas de chance car enfin de compte 4 ans plus tard on apprend qu'une seule reste expoitable , mais la qualité est telle qu'elle ne
prouve pas grand chose, sauf qu'il y a eu une explosion consécutive à ... on ne sait pas trop à quoi , la vidéo étant sujette à toutes les interprétations
possibles et imaginables. Mais observons cette vidéo qui fait débat dans le détail, celle dite du parking .
Comme on peut le constater , distinguer un avion dans cette vidéo n'est pas évident ; cependant en y regardant de plus près , "un fuselage", "une queue",
des "turbulences" ressemblant plus à de la crême chantilly (sortant de son diffuseur) derrière un réacteur , sont susceptibles d'être interprétés comme tels.
A remarquer jusqu'à présent, que tous les phénomènes de condensation provenant de moteurs d'avion (les trainées) ne sont observés qu'à très hautes altitudes
et non au ras du sol.D'ailleurs aucun témoin visuel parmi les 130 répertoriés n'a déclaré avoir vu un tel phénomène. Alors que penser de cette vidéo ?
Il résulte de tout cela qu'apparemment un OBJET VOLANT a bien percuté le Pentagone, mais dire qu'il s'agit d'un 757 c'est très difficile à affirmer ; par contre
un 737 pourrait être une aéronef qui cadrerait bien avec toutes les observations rassemblées ,ressemblance évidente mais de moins grande envergure et d'une longueur
moindre. Ce qui veut dire alors que le trou d'impact de sortie n'a plus lieu d'exister mais que sa "présence"(voir débris4) correspond à quelque chose de précis que l'on veut
nous cacher.Et cerise sur le gâteau, la boite noire soi-disante légèrement endommagée qui normalement se trouve sous la queue de l'appareil, a été retrouvée tout près de ce trou
. Etonnant n'est ce pas ...
Dans toute cette histoire la remise en cause de la version officielle de ce drame de l'attentat du Pentagone pourrait être relativement crédible s'il n'y avait le problème
des victimes et des disparus.Là il faut bien l'admettre la tâche est quasi insurmontable tant cela peut paraître sordide,paranoïaque, absurde etc...Et à ce niveau tous
les scénaris peuvent être envisagés les uns plus insensés que les autres.Cependant des interrogations ,des zones d'ombre subsistent qui resteront sans réponse en espérant que
peut-être un jour...
¤¤ Aucune association rassemblant des proches des victimes n'a été constituée contrairement à ce qui s'est passé pour les tours du WTC.
¤¤ L'aluminium du fuselage ,de la carlingue des ailes et de la queue s'est vaporisé sinon transformé en confettis, pas les corps humains dont on a retrouvé de nombreuses traces
parfois en entier et semble t'il sans trop de difficulté puisque toutes les victimes ont pu être identifiées. Il est vrai qu'on ne l'a su qu'au bout de 5 ans grâce au FBI toujours lui...
Un problème de température dira -t'on ... On a même droit à la répartition des corps qui diffère selon les versions ...Mais ces photos ont-elles été prises
sur les lieux du crash ? Au bout de 4-5 ans tout est possible.
¤¤ Les papiers d'identité des pirates ont été retrouvés intacts.Il parait que cela n'a rien de surprenant que l'on retrouve des documents intacts
après un crash d'avion même après un violent incident."Encore moins surprenant" alors dans ce cas puisqu'il s'agit de l'identité des terroristes ,le hasard
faisant bien les choses , à moins de vouloir prouver absolument que c'est ... qui a ...
¤¤ Quasi statu quo sur les vrais pilotes dont on ignore tout, mais pas sur le pirate qui pilotait le BOEING, qui est passé de simple novice incapable d'obtenir un brevet de pilote de
CESSNA au lendemain du crash , au statut de pilote expérimenté capable de piloter un 757, 5 ans après dans le rapport de la commission d'enquête.
«...lorsque l'instructeur Baxter et son collègue Ben Conner instructeur ont mis Hani Hanjour à l'essai par trois fois au cours de la deuxième semaine d'août, ils ont constaté
qu'il avait du mal à contrôler et faire atterrir un monomoteur Cessna 172. Malgré la licence de pilote fédéral et le carnet de 600 heures d'expérience de vol présenté par
Hanjour le chef instructeur Marcel Bernard a refusé de lui louer un avion sans leçons supplémentaires » puis peu après d'ajouter« très calme, dans la moyenne des pilotes. il ne fait
aucun doute que, une fois qu'il aurait décollé, il aurait été en mesure de diriger l'avion vers un bâtiment et de le frapper. » C'est pas beau ça
comme témoignage ? tout est dans la nuance: pas capable de contrôler , d'atterrir mais capable de s'écraser pile poil sur l'objectif à 850km/h. Donc avec beaucoup de
détermination et un minimum de savoir , tout est possible. C'est bien connu , les cons ça osent tout , c'est d'ailleurs à çà qu'on les reconnait malheureusement.
Par contre , des militaires "super compétents" sont eux incapables de contrer une attaque de terroristes bien qu'elle soit connue à l'avance . Mais c'est vrai c'est bien connu aussi ,
des militaires c'est pas cons.
On peut douter de tout, c'est très facile et bien commode pour abattre son chien sous prétexte qu'il a la rage.Mais dans l'histoire de l'avion du Pentagone, il ya plusieurs choses qui me chiffonnent : l'existence du trou provoqué par le 757 sur la face interne du Pentagone , la chute de l'avion à plus de 900km/h qui n'a peut-être pas touché les lampadaires et le Pentagone si on se réfère aux données fournies par le NTSB,la sensation qu'en haut lieu on savait ...Et ça fait beaucoup pour croire aveuglément en la version officielle.
Le 11 septembre 2001, le vol 93 effectue, avec un avion de type Boeing 757-200, la liaison entre l'aéroport international Newark
Liberty (New Jersey) et San Francisco (Californie) aux États-Unis.Il décolle à 8 h 42 avec 41 minutes de retard, à cause du trafic matinal
assez élevé. Il s'agit d'un problème de routine fréquent pour un tel vol. L'avion cesse de répondre à la radio à 9 h 27, coupe son
transpondeur et sort de sa route à 9 h 30. Certains passagers utilisent les téléphones de bord pour prévenir que leur avion était détourné
et sont alors informés du détournement des avions lancés contre le World Trade Center. Devinant qu'ils risquent le même sort,
les passagers décident de s'attaquer aux pirates de l'air. Selon la commission d'enquête, les terroristes provoquent alors un crash
pour empêcher la prise de contrôle par les passagers. L'avion s'écrase sur le territoire de la commune de Shanksville au sud de
Pittsburgh, en Pennsylvanie, à une distance d'environ 170 km de la capitale vers laquelle il se dirigeait (11 minutes de vol à 850 km/h).
Les interrogatoires de Khalid Cheikh Mohammed ont amené les autorités américaines à affirmer que la cible était le Capitole.
L'avion transportait trente-sept passagers (les quatre terroristes compris), cinq personnels navigant commercial et deux pilotes. Il n'y eut
aucun survivant.
Voilà pour la petite histoire brièvement racontée. L'Amérique avait ses héros comme les aiment les américains. Des hommes mais certainement des femmes
aussi se sont révoltés contre les forces du mal mais en vain.
Le récit héroïque retenu puis mis en scène par l'industrie cinématographique prend donc sa source dans
l'enregistrement de l'appel téléphonique qu'un passager, Todd Beamer, meneur d'un groupe désireux de reprendre le contrôle de l'avion,
effectua à 9 h 45 sur le réseau Airphone de Verizon Communications, conversation qui s'acheva sur le mot d'ordre depuis lors célèbre de
« Let's roll » (« Allons-y ! »).Un dernier appel fut celui, à 9 h 58, d'un homme affolé, réfugié dans des toilettes, supposé être Edward Felt,
qui signala que l'avion était en train de descendre. Ce récit est également "mis en scène" par différentes communications qu'auraient effectuées certains
passagers en utilisant un téléphone portable.Comme on vient de s'en rendre compte cet appareil de communication a joué un rôle important dans la connaissance des évèmements
qui ont caractérisé le tragique destin du vol UA93.
Pour ce qui est du reste selon les récits de témoins, l'avion a piqué brusquement du nez, est tombé comme
une pierre et s'est pulvérisé au sol, le kérosène explosant en une boule de feu. Le cratère dessinant l'empreinte de l'avion dans le sol
meuble
de cette ancienne mine à ciel ouvert manifeste "la verticalité de l'impact". Par ailleurs, deux ensembles de débris retrouvés au sud
de l'Indian Lake et
à New Baltimore, à 3 et 12 km de l'impact, se trouvent alignés avec un moteur (unique pièce de taille notable retrouvée, à 600 mètres
de l'impact).
Ce qui est curieux ,comme on peut le constater sur certaines photos ,il ne reste rien de cet impact tout a été vaporisé.Le cratère formé
a été rebouché en grande partie par
la terre issue de l'explosion d'impact sur une profondeur de 3 à 4m ,contrairement à ce qui se passe lors de la formation d'un cratère d'impact .En déblayant
cette terre des restes d'un moteur ont été retrouvé mais pas seulement, une pièce d'identité intact de 2 des pirates .Par contre selon le porte-parole du FBI Bill Crowley cité par CNN deux jours après le drame
certaines grosses pièces ont été projetées ,à 600m pour un moteur, 3 et 13 kms pour d'autres pièces de la carlingue plus ou mons importantes , .
Malgré la vitesse (900km/h) et l'inclinaison de l'avion (40° selon le rapport du NTSB) au moment du crash, des objets ont été retrouvés en bon état
notamment les cartes d'identités des pirates.Quant à l' angle de 40° il est loin de représenter une verticalité exceptionnelle qui justifierait
l'appellation de "confettis" des débris pour démontrer la violence du crash.Enfin d'après les enregistrements des conversations entre les pilotes et
le contrôle aérien recueillis par les boîtes noires retrouvées intactes dans le cratère, les dernières paroles des pirates de l'air prouvent qu'ils ont précipité
l'avion au sol :" « Pull it down, pull it down ! »" crièrent-ils . Mais alors comment se fait-il que des pirates déterminés à mourir pour
leur religion s'expriment-ils en anglais et non en arabe ? Pour faire distinguer peut-être ?
ET puis drôlement pratique "cette technique du trou qui se rebouche tout seul",car dans un premier temps , les curieux ne voient rien
puis dans un second temps on établit un perimètre de sécurité pour protéger "la scène de crime" et éloigner les badauds et les journalistes ,
enfin on sort du trou tout ce qu'on a envie de sortir comme un prestigitateur sort de son chapeau ,un lapin, une colombe, des serviettes etc...
en toute discrétion en fonction des besoins.Ni vu ,ni connu ,je t'embrouille.
Donc à propos des débris récapitulons brièvement: sur un même axe à partir de l'impact nous avons un moteur puis 600m plus loin un autre moteur
, puis 3km
plus loin des débris de carlingue ,puis 13 km plus loin encore d'autres débris significatifs .Bref Tout cela laisse à penser que la
déstructuration de l'appareil était déjà bien entamée avant qu'il ne percute le sol. Alors que faut-il en déduire ? Qu'une explosion a
probablement "secoué "l'avion avant que ce dernier ne s'écrase sous un angle de 40°.
En effet un éparpillement aussi vaste des débris laisse des spécialistes français des crash aériens sceptiques. Jean Belotti, ancien
commandant de bord Air France et expert judiciaire, juge cela impossible :
" « Retrouver des débris à 13 km autour du point d'impact me paraît impossible. Si c'est le cas, ils sont tombés alors que l'avion était
encore en vol. Quand un avion se crashe, les débris se retrouvent dans un périmètre proche. Sinon, c'est que quelque chose a explosé
pendant le vol. Si les débris sont dans un rayon circulaire de 13 km, c'est qu'ils appartiennent à un autre avion. " ou bien au même
avion ou encore le Boeing n'a pas supporté la vitesse estimée à 933 km/h par certains services habilités et a commencé à se disloquer.
Auquel cas l'épisode héroïque de la
révolte des passagers en prend un sacré coup dans l'aile si je peux m'exprimer ainsi.Mais même sans cela si on s'intéresse à
l'épisode
des communications des portables des passagers, qu'Hollywood reconstitua d'une manière palpitante avec la fin tragique de ces derniers ,on oublie vite
que l'utilisation individuelle de moyens de communication moderne a des limites physiques qui permettent certes une mise en scène réaliste , mais
qui est loin de correspondre à la vérité.
Enfin la chasse était présente sur place bien qu'arrivée tardivement à proximité du vol 93 - quelques instants avant
qu'il ne s'écrase (10 h 03).Au même moment Bill Wright pilotait un petit monomoteur Piper lorsqu'il se trouva en vue du vol 93, à une distance de 5 km environ.
Il reçut alors l'ordre (de qui ? de la chasse ?) de
s'éloigner le plus rapidement possible et d'atterrir au plus proche aéroport. Il déclara ensuite sur une chaîne TV de Pittsburgh : " Une des premières choses
à m'avoir traversé l'esprit quand ils (qui ?) nous ont dit de nous éloigner au maximum et le plus vite possible [de l'avion], c'est
qu'ils
s'attendaient à ce qu'il
explose, ou qu'ils allaient l'abattre depuis le sol." L'armée aurait donc abattu le vol 93 c'est ce qu'annoncera les médias même celles qui ne remettent pas
en cause la thèse officielle . Un bruit de succion, suggérant une décompression de l'habitacle fut d'ailleurs perçu lors de l'examen de la boite noire audio selon
le New-York Time.Ainsi donc les débris , la chasse présente , tout concourt à imaginer que l'avion ne s'est pas désintégré instantanément lors de l'impact
avec le sol. Mais plus tard le Pentagone niera toute intervention.
Encore une fois on peut douter de tout.Mais dans l'histoire de l'avion UA93 il y a plusieurs choses qui me chiffonnent là aussi: la chute de l'avion qui laisse des débris sur plusieurs kilomètres , l'utilisation de portables relatant la tragédie qu'ont connue les passagers, et la présence d'avions de chasse... Encore une fois ça fait beaucoup pour croire aveuglément en la version officielle.
Petit rappel de ce qui s'est passé ce jour là du 11 septembre 2001; deux buildings WTC1 et WTC2, s'écroulent à 29mn d'intervalle, suite à une attaque d'avions commerciaux transformés en missile , un troisième le WTC7 essuie les dommages collatéraux des deux autres et subit le même sort 8h30 plus tard.
"La tour infernale". On apprend donc que cette tour abritait plus de 136000l d'essence en réalité il s'agissait de MAZOUT
au pouvoir beaucoup moins détonant que celui de l'essence et surtout beaucoup moins destructeur, n'en déplaise à certains répartis essentiellement au rez de chaussée,
près de 110000 l ,le reste réparti entre les niveaux 2 et 3 5,7,8 , destinée aux différents générateurs présents dans cet immeuble.Effectivement de quoi alimenter
tout de même un incendie de grande ampleur.Cependant , ce n'est qu'à partir du 8ième étage que la construction classique faite de colonnes et de poutres sur les côtés et
au centre reprend ses droits. Par conséquent ce sont les 8 premiers étages qui servent de base pour la stabilité structurelle du bâtiment .On peut donc supposer
qu'une attention toute particulière a été portée à cette partie en terme de solidité , de protection,etc...puisque c'est-elle qui assure la sécurité fondamentale de la structure. Les 1er , 2ième
étages peuvent même être considérés alors dans leur ensemble comme le sous-sol de ce building permettant l'accès à des quais par des camions. Enfin le 25 ième
niveau a été renforcé en vue d'éventuelles attaques de terroristes.Ce n'est donc pas un hasard si les milliers de litres de mazout sont
entreposés à cet endroit.
Cet immeuble abritait entr'autres aussi des services officielles comme la CIA ,le département de la défense ,l'Internal Revenue Service , un bureau des USSS,
la Securities and Exchange Commission* (SEC), où se trouvaient les archives d'affaires financières tels que les dossiers concernant les fraudes de Enron
et de WorldCom, ainsi que le poste de commandement des situations d'urgence de la mairie de New York.
Après le crash des avions sur les deux tours,le WTC 7 reste debout . Toutefois, selon le rapport du NIST, le bâtiment
est atteint par des débris métalliques chauds projetés sur sa face sud (en son tiers oriental) lors de l'effondrement de la tour Nord. Ces débris engendrent
des incendies, avec des flammes sporadiquement et partiellement visibles côté nord, c'est-à-dire du côté opposé à la chute des débris
(niveaux 11 à 13 et 28 à 30). Les incendies et les dégâts sont beaucoup plus importants côté sud mais une abondante fumée empêche les observations
et les prises de vues et ne permet pas aux observateurs d'en mesurer la portée exacte.
On apprend encore que vers 16 heures, l'évacuation du bâtiment est ordonnée par crainte d'un effondrement. Les déclarations du propriétaire, Larry Silverstein
, indiquent que (en accord avec les chefs des pompiers) la lutte contre les feux devait être abandonnée, en raison du risque d'embrasement des réserves
d'hydrocarbures situées dans les étages inférieurs. Donc vers 16h les incendies n'ont pas encore atteint les 8 étages critiques qui assure la stabilité de
l'édifice là où se trouvent les fameuses réserves. En août 2008, le NIST publie, après trois ans d'études, un rapport concernant l'effondrement de WTC 7,
concluant que le feu en était la cause principale.Pas facile pour une personne qui pratique la langue française de lire ce rapport pour avoir une idée
de ce qu'il raconte.
Cependant à la lumière de ce document publié en 2008 soit 7 ans après les faits on peut dire que :
A toutes ces observations à propos du rapport du NIST s'ajoute des photographies , très troublantes
concernant l'effondrement du WTC7.
Enfin avec les vidéos ci-dessus , il est difficile de croire qu'un feu de tables et de chaises à l'origine des incendies a pu faire écrouler en quelques secondes à la vitesse de la
chute libre un tel bâtiment même au bout de 7 heures.La vidéo CBS a été utilisée par le NIST pour déterminer la vitesse de la chute de l'édifice. La vidéo de droite
représente les 25 secondes de la simulation que le NIST a bien voulu communiquées. Ce sont les seules...
Elles montrent une structure qui tend à se déformer et se replier sur elle-même durant sa chute, sans symétrie...
Encore une fois (et oui une nouvelle fois) on peut douter de tout.Mais dans l'histoire de l'effondrement de la Tour 7
il y a encore plusieurs choses qui me chiffonnent là aussi: le rapport de la Commission sur le 11/9, ne mentionne tout simplement pas l'effondrement du WTC7.
qui s'est affaissé sur lui-même, dans un mouvement vertical. Cet effondrement de l'immeuble sur sa base est particulièrement significatif
d'une démolition contrôlée.« Les spécificités des incendies dans le WTC 7, et la façon dont ils ont entraîné l'effondrement de l'immeuble,
restent inconnues à ce jour » selon le rapport de la FEMA (Federal Emergency Management Agency, l'Agence Fédérale des Situations d'Urgence)
Des températures d'éléments en acier de construction de 750 °C selon le NIST dues à des incendies de bureaux peuvent être considérées comme anormalement élevées
et être justifiées. À ce stade, il n'y a aucune preuve pour illustrer la validité de ces températures.
Tout cela fait que encore une fois ça fait beaucoup pour croire aveuglément en "la version officielle" de la destruction du WTC7 par le feu.
Construit sur les plans de l'architecte Minoru Yamasaki, le complexe avait été réalisé pour le compte des Autorités portuaires de New York-New Jersey
(Port Authority of New York and New Jersey).Les deux tours emblématiques du World Trade Center (WTC1 et WTC2 appelées aussi Twin Towers) étaient
les plus hauts gratte-ciel de New York (417 et 415 mètres, 110 étages); leur surface habitable était de 800 000 m², tandis que leur poids respectif
atteignait environ 4.5 millions de tonnes.Environ 50 000 personnes y travaillaient quotidiennement.Le 26 février 1993 un camion chargé de 680 kg d'explosifs
explosa dans un parking souterrain de la tour Nord, créant un cratère de 30 mètres à travers 4 niveaux de sous-sol, cet attentat fit 6 morts et
1 042 blessés. L'attaque ayant créé de graves dommages, les deux tours restèrent fermées pendant plusieurs mois.
Fin juillet 2001, le bail du World Trade Center fut acheté pour 99 ans par Larry Silverstein, déjà propriétaire de l'immeuble de 47 étages situé juste
au nord du complexe, nommé par extension WTC7. Le nouveau propriétaire assura immédiatement lesdits immeubles pour plusieurs milliards de dollars.
Les conditions du contrat n'étant pas encore finalisées au moment des attentats de septembre cela conduit à d'âpres négociations avec les assureurs et
à des actions judiciaires jusqu'en 2007.
La structure porteuse était scindée entre un faisceau central de 47 poteaux en acier, profilés de section rectangulaire à épaisseur variable en fonction de la
hauteur dans l'immeuble, reliés les uns aux autres par des profilés de traverse, et un 'tube' constitué de 240 poteaux d'acier, profilés à section carrée
solidarisés par des plaques boulonnées. La structure centrale prenait quelques 60 % de la charge statique, le 'tube' supportant les 40 % restants.
Chaque profilé central devait ainsi porter en moyenne 7,5 fois la charge d'un poteau externe. Pris au même niveau, il était 7,5 fois plus résistant
en moyenne car les éléments porteurs centraux se présentaient sous deux dimensions, 16 d'entre eux, formant les rangs externes, étant à peut près
du double des autres. La fonction spécifique du 'tube' était d'offrir une excellente résistance au vent et aux éventuelles secousses sismiques.
Ces deux ensembles étaient rigidifiés par une structure sommitale, une sorte de chapeau fait de poutres métalliques, dont le rôle était de limiter
la déformation du tube lorsque celui-ci était soumis à des contraintes latérales, réduisant ainsi au minimum les contraintes subies par les planchers.
.
Ceux-ci, très légers (50 kg/m²), étaient constitués par un treillis de poutres métalliques fixé aux structures porteuses. Ils étaient capables de supporter
dix fois leur propre poids.
Le noyau central enserré par les 47 poteaux porteurs abritait les ascenseurs et escaliers. Il occupait environ 1 200 m²
Cette conception, qui date des années 1960, était bien adaptée pour des tours très hautes. Les tours jumelles avaient aussi été réalisées avec des coefficients
de sécurité tels qu'ils permettaient, selon les concepteurs, résister à l'impact d'un Boeing 707 ou un DC8 en pleine charge, lancé à 950 km/h :
".une telle collision résulterait seulement en dégâts locaux ne pouvant causer l'effondrement ou des dommages conséquents à l'immeuble et ne mettrait
en danger ni la vie ni la sécurité des occupants hors de la proximité immédiate de l'impact". Frank Demartini, qui dirigea le chantier de construction
du WTC avait ajouté que :".le bâtiment pouvait probablement soutenir de multiples impacts d'avions" bien que des experts lors du procès de l'attentat
du 26 février 1993 aient déclaré que contre des Boeing 767 cela serait inefficace.Déjà ici une bataille d'experts se dessine , les uns se positionnant dans un sens
tout de suite contredits par d'autres c'est de bonne guerre , c'est le rôle de la justice.
Par contre après les attaques, en 2007Larry Silverstein
empôcha bien un chèque de près de
5 milliards de dollars des assurances pour un investissement de 3,2 milliards en leasing sur 99 ans au départ.
L'effondrement des tours du World Trade Center a été l'évènement central des attentats du 11 septembre 2001, durant lesquels chacune des tours jumelles a
été frappée par le détournement d'un avion de ligne.
La tour sud (2 WTC) s'est effondrée à 9 h 59 (heure locale), moins d'une heure après avoir été frappée par le 2e avion, suivie à 10 h 28 par la tour nord
(1 WTC), près de 100 minutes après avoir été frappée par le 1er avion.2 605 personnes qui se trouvaient à l'intérieur et à proximité des tours ont été tuées,
dont 343 sapeurs-pompiers, 23 officiers de police du NYPD et 37 officiers de la police portuaire. À ce bilan s'ajoutent les 147 passagers et membres
d'équipage à bord des deux avions ainsi que les 10 terroristes.L'effondrement des tours jumelles a aussi causé d'importants dégâts au reste du complexe et
aux bâtiments avoisinants, notamment à la WTC 7 qui s'est à son tour effondrée à 17 h 20. Enfin en 2004 suite à des actions entreprises par les familles
des victimes un rapport officiel est publié stipulant que
l'effondrement des deux tours WTC était du au feu intense résultant de l'impact des deux avions .
Voilà résumé ce qu'étaient les tours jumelles de New-York et ce qui leur est arrivé. A partir de là les choses sérieuses commencent car si la tour 7 et
les deux tours WTC1, WCT2 se sont réellement effondrées à cause du feu et des dommages mécaniques, comme l'enquête officielle nous le dit, alors il s'agit des
seuls cas de l'histoire où des dommages asymétriques ont entraîné un effondrement symétrique. C'est d'autant plus « remarquable » pour la Tour Nord
dont l'effondrement est symétrique sur les deux axes.
Ainsi donc le c'est le feu qui est l'origine de l'effondrement des 2 tours.C'est pourquoi lorsqu'un immeuble est la proie d'un incendie il s'écroule ?
C'est bien connu, l'apport calorifique de la décoration et du mobilier au feu fragilise un bâtiment au point de le faire s'effondrer.
D'ailleurs c'est pourquoi mobilier et décoration intérieure devraient être proscrits de toute habitation vu leur propriétés incendiaires et dévastatrices
une fois enflammés. Idiot que je suis j'oublie TOTALEMENT LES IMPACTS D'AVIONS, EVENEMENT ASSEZ DESTRUCTEUR POUR BIEN ENTAMER LA STRUCTURE INTERNE EN PREMIER LIEU.
Mais seulement voilà le pb, c'est que le troisième bâtiment, le wtc7, n'a été heurté par aucun avion.OUI certes , mais des débris provenant des deux tours ont été
projetés sur le WTC7 occasionnant des incendies intenses et une atteinte à la structure interne du bâtiment .Seulement voilà le NIST dans ses conclusions
rejette
l'hypothèse, que des dommages structurels ont pu être causés par les débris de la tour nord.
Ce qui fait que les trois tours du wtc sont les seules dans l'histoire de la construction de building à s'être totalement effondrées à cause du feu et
cela en une heure de temps en gros pour ce qui concerne les deux tours jumelles .
Les vidéos montrent clairement que la totalité du kérosène provenant des avions ne s'est pas déversée dans un seul des étages du World Trade Center
de manière efficiente; pour le WTC2 l'essentiel de l'explosion de l'hydrocarbure s'est faite à l'extérieur , pour la WTC1 aussi ,bien que dans une moins grande
proportion.
Alors dire que le kérosène ait, à lui seul, élevé la température du BATIMENT dans son ensemble au-delà de 900°C (NIST) pose d'énorme problème de conductivité thermique.
Ah oui j'oubliais les meubles et autres objets de décoration !!! Certains experts quant à eux ont calculé que même si la totalité du carburant s'est déversé
dans un étage lors de l'impact, le température ne devait pas excédée plus de 280°D'ailleurs, le Rapport Final du NIST
reconnaît que :Dans plus de 170 zones examinées sur 16 panneaux de colonnes périphériques, seules trois colonnes ont fourni la preuve que l'acier a atteint
des températures supérieures à 250ºC. Seuls deux échantillons des colonnes du cour avaient gardé suffisamment de peinture pour permettre cette analyse,
et leurs températures n'ont pas atteint les 250°C. En utilisant l'analyse métallographique, le NIST a déterminé qu'il n'y avait aucune preuve que
l'un des échantillons ait atteint des températures supérieures à 600°C. (NIST, 2005, pp. 176-177.)
.Or, cette température n'est pas suffisante, loin s'en faut, pour donner
ne serait-ce qu'une amorce d'explication à l'effondrement des tours du World Trade Center. Cependant il faut bien le dire,
seule une très forte température
peut expliquer certaines choses ...
quoique pas partout. Alors y a t'il eu vraiment une température telle qu'elle a "ramolli" la totalité des poutres et colonnes
d'acier notamment celles du bas des deux tours provoquant l'écroulement en chute libre de ces dernières ? A l'endroit de l'impact alors une personne
aurait-elle pu survivre à une température supérieure de 900° ? Assurément non! mais des
points chauds rougeoyants existaient bel et bien, certains
se transformant même en coulées incandescentes.Qu'est ce qui peut expliquer ces deux observations?
N'oublions pas aussi que des produits ignifuges à base d'amiante constituaient la principale protection des poutres et poutrelles contre les incendies
et qu'elles étaient censées résister plus de DEUX heures à un feu intense.
Le rapport du NIST de plusieurs milliers de pages qui
détaille les résultats d'une étude de plus d'une centaine d'ingénieurs extrêmement compétents, ayant
bénéficié d'un budget de 16 M$, 3 années d'étude et des moyens de simulation informatique ,prétend établir que les
dégâts occasionnés par les impacts d'avions et les incendies qui suivirent rendirent l'initiation de l'effondrement
inévitable.Mais alors si les effondrements étaient inévitables, le rapport du NIST devait
l'établir sans ambiguïté.Cependant ce rapport est radicalement différent de celui soutenu précédemment par une autre étude officielle, celle de la
FEMA (600k$ de budget) .
Pour les ingénieurs du NIST les poutres soutenant les planchers ployant à
haute température ont dû tirer sur les colonnes externes jusqu'à les tordre vers l'intérieur.
Malheureusement les ingénieurs reconnaissent que dans leurs simulations détaillées des planchers le
tirage attendu, crucial pour expliquer l'initiation de l'effondrement, ne s'est pas produit, car les
attaches des poutres aux colonnes ont lâché d'abord.
Imperfection de leurs simulations? simulations incomplètes ou autre chose toujours est-il que le NIST introduit à la main les forces de tirage pour
produire la
destruction des colonnes externes. Cependant il n'est pas permis à des chercheurs indépendants de la
vérifier, les codes de simulations du NIST n'ayant pas été publiés.
Alors peut-on faire confiance sur parole à des équipes dépendant directement de
l'exécutif US et dont nombre de leaders travaillent pour l'armée? Toujours est-il que pour expliquer l'effondrement des deux tours du WTC l'explication
officielle est que
le kérozène des avions s'est engoufré dans "la cage centrale" formée de poutres énormes d'acier et de béton ,qui en prenant feu a ramoli
l'ensemble de la structure centrale d'acier jusqu'à la base pour provoquer le processus d'effondrement. Et la chaleur était telle que
5 jours plus tard des poutres étaient encore rougeoyantes et incandescentes comme rongées par un "feu" intérieur . Etonnant n'est ce pas mon cher Watson !
Observons maintenant le comportement de tours jumelles au moment de l'initialisation de leur effondrement. Ces deux immeubles bien qu'ayant été heurté par
les avions de manière
différente , basculent tous les deux exactement dans le même sens nord sud , curieux mais pourquoi pas ; la chute de l'antenne de WTC1 juste avant "le toit"
de l'immeuble permet même de déduire que l' 'effondrement de la tour s'est fait par le centre et par conséquent celui de WTC2 aussi.On s'attend donc à ce que le
HAUT des deux tours composé d'un certain nombre d'étages tombe d'une manière uniforme en direction du sol;mais non, par une "subtilité"
des lois de la physique , par un effet de rotation inverse il "se redresse peu" mais
suffisamment pour s'écrouler verticalement vers le centre comme si tout cela avait été contrôlé.(voir le dessin ci-contre) et obtenir ainsi un "collapse"
symétrique bien ajusté.
Stupéfiant est donc que DEUX
buidings certes de conception
identique mais présentant des conditions de destruction différentes (axes et points d'impact différents,quantités de kérozène ayant explosées différentes)
s'écroulent en
suivant un même processus : rupture par absence du noyau central , glissement et inclinaison vers l'extérieur immédiatement
contrecarrée par une légère rotation avec basculement
vers l'intérieur et enfin chute libre , tout cela en quelques secondes et fractions de secondes. En fin de compte pour qu'un telle chose
puisse se produire, il faut absolument que le coeur de l'immeuble devienne inexistant
*Si on regarde bien la façon dont s'écroule le WTC7 on remarque que le penthouse de cet immeuble (3ième vidéo), s'incline en premier et avant tout le reste vers le nord en
s'enfonçant vers l'intérieur COMME l'antenne du WTC1. Or le WTC7 n'a pas été heurté par aucun avion et selon le NIST les projections
de matériaux provenant de la Tour 1,ni les réserves de mazout , ne sont responsables d'un affaiblissement de la structure. Pas de crash ,
pas d'explosion d'impact et cependant un même "scénario" de chute libre. Pas les mêmes causes apparentes mais les mêmes effets ...Une conclusion s'impose
alors "on a aidé" les 3 tours à s'affaisser.Ainsi donc la piste d'une démolition programmée se fait jour d'une manière de plus en plus probante
d'autant plus
que s'ajoute au moment de la chute de la WTC1 par exemple ,l'expulsion de débris colossaux qui ont été projetés selon une trajectoire
parabolique que seule une impulsion initiale
importante peut expliquer comme une déflagration par exemple (voir la 4ième vidéo;des poutres d'acier ont été retrouvées plantées dans les façades
des immeubles voisins ainsi qu'un ensemble homogène de poutres et poutrelles estimées à près de 100t l'équivalent d'un Boeing 757 au pied du Winter Garden.)
Ce qui pose problème dans la destruction des twins towers est la présence du coeur des deux tours et sa résistance au feu.Pour les uns, adepte de la version
officielle , c'est un feu intense qui a ramolli les piliers centraux et provoqué la chute vertigineuse des 2 tours, mais sans véritable preuve seulement
soumise à l'approbation
de personnages plus ou moins experts déclarés compétents, le principe étant (et la justice est là pour le prouver ), qu'un expert à raison jusqu'à qu'il soit
contredit
par un autre expert; pour d'autres, "on a accompagné" cette chute;le problème étant alors comment ? Certains présenteront ainsi les tours avant leur destruction
sous un couché de soleil radieux laissant entrevoir une transparence qui montre le coeur des édifices , un peu comme on montre en contrejour
la silouette d'une femme nue sous un déshabillé transparent , suggérant ainsi la fragilité de la structure et donc sa résistance au feu. D'autres n'hésiteront
pas à dénigrer les travaux de construction ou à les mettre en doute en disant qu'ils avaient été baclés, soudures mal faites, matériaux de mauvaise qualité ,
mauvaise isolation thermique , mauvaise conception etc...etc...le tout étant là encore de démontrer que les immeubles ne pouvaient que s'effondrer à la
moindre anomalie extérieure : pas à cause du vent , des ouragans , des tempêtes, de crash d'un avion, non non , mais à cause des incendies, comme si les architectes
batisseurs ignoraient tout des conséquences de l'effet des incendies sur une structure metallique.Seulement voilà , les architectes n'ont jamais été inquiétés
suite à cette tragédie puisque "tout avait été prévu " ...sauf les incendies ... Si le sujet n'était pas aussi sérieux , on aurait presque envie de rire.
Après tout, mais ce n'est qu'une supposition, voilà
peut-être un motif (ou des motifs) de vouloir détruire absolument ces deux tours au moindre frais à cause de leur "vétusté apparente". Ne répondant plus aux normes
en vigueur à cause de nombreuses anomalies , de malfaçons , dans leur conception et réalisation , présence d'une très grande quantité d'amiante qui aurait couté beaucoup trop cher à
éliminer, leur destruction arrangeait beaucoup de monde dans les domaines , politique, économique , financier et autres , où les dommages collatéraux
ne restent que des dommages collatéraux
c'est à dire quelque chose d'insignifiant. En mettant en synergie cette volonté machaviélique avec d'autres volontés du même acabit on en
arrive à une mise en scène digne des meilleurs scénaris hollywoodiens permettant aux citoyens américains de se mettre au garde à vous et de dire :"Président
nous voilà." Je sais on me dira arrêter de délirer ...Peut-être , ce n'était qu'une suppostion et pour citer un mot fortement utiliser par les pro
version offiicielle ce n'est PROBABLEMENT pas comme çà que les choses se sont passées. Heureusement d'ailleurs , sinon où irions nous hein!
Concernant les tenants de la vérités officielles,ils expliquent le comportement des tours par un dessin explicatif (a,b,c,d,e) qui mérite que l'on s'attarde un peu.
Il ressemble à celui présenté plus haut(1,2,3) , avec une énorme différence, le noyau central n'est pas réprésenté; du coup si on ne prête pas attention, on
a l'impression que la stabilité de la structure ne repose que sur les colonnes extérieures et de ce fait effectivement la chute par gravité naturelle
ne peut être qu'inéductable.Ces mêmes personnes expliquent également que "l'enquête du NIST ( qui repose sur une simulation dont les données n'ont
jamais été
communiquées) a montré de façon concluante que la défaillance des colonnes périphériques inclinées vers l'intérieur a déclenché un effondrement et que l'apparition
de cette inclinaison de l'intérieur EXIGEAIT (verbe transitif dont la signification ne constitue une preuve absolue de certitude :on exige des excuses qu'on
n'est pas sûre de recevoir en retour par exemple ) que les planchers affaissés restent reliés aux colonnes et tire les colonnes vers l'intérieur . Ainsi les sols n'ont pas
cédé en provoquant un phénomènes de pancake." Donc si on comprend bien ,des planchers qui ont été présentés comme relativement fragile au
niveau de leur point d'attache ,ont
tiré des colonnes massives de plusieurs tonnes vers l'intérieur et cela sur toute la hauteur de la partie de l'édifice en déséquilibre, mais aussi en dessous
des étages du point d'impact ,sans provoquer le moindre phénomène d'empilement.La ficelle parait tellement grosse que ces mêmes personnes qui citent le NSIT
s'empressent d'ajouter: "En fait, vous notez que des personnes jouent sur les mots. Quand le NIST dit qu'il ne soutient pas la théorie du pancake,
cela signifie que ce ne sont pas les planchers qui ont cédé au début, mais les murs extérieurs. En général, on parle en fait de « pancake » pour simplement
dire que les étages se sont écroulés les uns sur les autres, ce qui est bien arrivé par la suite." C'est ce qui s'appelle être plus royaliste que le roi
et aussi pratiquer la langue de bois.D'ailleurs le NIST se garde bien de décrire "ce qui est arrivé par la suite" ne sachant pas trop l'expliquer.
Comme nous l'avons vu précédemment pour expliquer ce qui s'est passé au niveau des deux tours ,il a fallu que la colonne centrale des édifices soit totalement
absente à un moment donné ; l'explication officielle est simple ;
ramollissement des structures d'acier à cause des incendies provenant du mobilier mais aussi du crash
des avions,notamment du kérozène qui se serait déversé par les cages d'ascenseurs jusqu'au bas des bâtiments. Seulement voilà seul un ascenseur désservait
les étages concernés par le point d'impact jusqu'au rez-de chaussée ce qui limite la propagation de l'hydrocarbure ; de plus quand on compare la capacité du
réservoir d'un Boeing 767 mettons 38000l (38m3) qui avait explosé dèjà une grande partie de sa contenance à l'extérieur (reste estimé à environ 19m3),avec
le volume d'une tour de 400m de haut de section
63mx63m soit 1 587600 m3 ,je vois mal comment expliquer un ramollissement des poutres d'acier de grandes section et très massives
provoqué en partie par la chaleur des incendies mettant en cause le carburant.Et puis , il y a les pompiers qui ont sauvé des personnes, en
empruntant les cages d'escalier en direction du sommet des tours et qui a aucun moment n'ont parlé d'une chaleur intense qu'ils ressentaient lors de leur
sauvetage.De même de la part d'une quinzaine de survivants qui ont emprunté les escaliers depuis le 85ième étage et qui sont sortis indemnes juste avant
que la tour1 ne s'écroule.Deux photos prises par une caméra thermique
respectivement pour WTC2 et WTC1 montrent que les températures n'étaient pas aussi
excessives qu'on a bien voulu le dire, mais surtout qu'en dessous des points d'impact, la couleur bleu reste somme toute dominante le rougeoiement
incandescent n'atteignant pas le bas des tours.
Enfin comme on l'a déjà vu il y a les vidéos qui
témoignent que de nombreux éléments de la structure en acier de plusieurs tonnes n'ont pas suivi la gravité naturelle mais ont été expulsés comme soumis
à une forte explosion.Tout cela est-il suffisant pour dire que seule la gravité naturelle est responsable de la chute des tours ?
Voici exposé un ensemble de photos
qui laisse perplexe quant à la nature du collapse des deux tours.Comment aussi expliquer ces "squibs" comme on les appelle,
ces projections de gravats et
débris de toutes sortes qui apparaissent en empruntant des ouvertures visibles sur la façade des immeubles ?
Selon les défenseurs de la V.O , ces rejets
seraient dus "a l'effet piston" engendré par la chute des planchers les uns sur les autres ...
qui d'après le NIST n'a pas exité . Et admettons qu'il y
ait eu un "effet piston", comment se fait-il que ce phénomène se produise beaucoup plus bas ( voir vraiment mais vraiment plus bas) que le front de fracturation comme si il avait emprunté certains
couloirs de sorties (aération?) sans endommager les fenêtres qui elles , restent intactes ? Maintenant s'il s'agit d'explosions d'éléments à des
endroits stratégiques ,tout s'explique et le moindre que l'on puisse dire c'est le genre de chose qui se produit lors d'une destruction programmée.
Un autre aspect saisissant de la destruction des tours jumelles a été la pulvérisation de l'essentiel du béton(413000t) en gravier et poussière avant qu'il ne
touche le sol comme en témoignent les vastes nuages en choux fleur de béton désintégré. Jusqu'à 20cm d'épaisseur de poussière se sont accumulés sur les rues ,
bâtiments, voitures et objets divers alors qu'une plaque de béton
lâchée de 200m ne se pulvériserait pas en percutant le sol: elle se casserait en morceaux, l'essentiel de l'énergie étant transformée en chaleur.On aurait
donc du constater un amoncellement entr'autres en plus des poutres et poutrelles , de plaques de béton éventrées, cassées , empilées mais certainement pas à
toute cette poussière ressemblant plus à des nuées pyroclastiques émanant d'un volcan suite à de terribles explosions. Et que dire du "TAS DE GRAVATS"
accumulés là où s'édifaient les deux tours et de la hauteur de la pile attendue ? L'épaisseur quasi-incompressible d'un étage de WTC1&2 est de 30cm:
10 cm béton, 15cm acier, 5cm autre. On s'attendrait donc à près de 33 m pour une pile compacte de 110 planchers sans oublier toutes les poutres, poutrelles etc ...
Or la pile n'est haute que de 12m (3%de h=410m) au dessus de 27m (6.5%de h) de sous-sols. Pas de planchers empilés visibles.
A disparu également lors de cet effondrement des deux tours ,la charpente appelée « chapeau tendeur » (hat truss).
En effet, sans y être réellement contraints, les ingénieurs avaient apporté une subtile amélioration à la structure en ajoutant une sorte de charpente
au sommet de chaque tour qui apportait un réseau de liaisons en diagonale entre les poteaux du noyau central et la structure externe de type « tube percé ».
Cela permettait d'ancrer et de répartir les charges de l'antenne (110 mètres de hauteur) de la tour Nord, antenne prévue dès l'origine, mais réalisée
plusieurs années après l'inauguration du complexe. Les ingénieurs justifiaient également la présence de ces charpentes par une amélioration sensible apportée à la résistance
au vent, en sollicitant les poteaux du noyau.Ainsi donc "ces coiffes" qui assuraient la cohésion structurelle de l'ensemble des poutres internes et
périphériques ont totalement disparu sans laisser aucune trace visible , même pas un semblant de structure prouvant leur existence.
Toutes les colonnes semblent avoir été segmentées par des explosions avec multiples ruptures simultanées aux jonctions entre les éléments de colonne
ou avec des sections nettes comme si elles avaient été faites par des charges coupantes linéaires. Un effondrement progressif aurait produit moins de points
de rupture et plus de longues colonnes qui au contraire sont "découpées" en longueur proche de 9m prête à être embarquées et expédiées...Aujourd'hui,
des dizaines de milliers de tonnes de cet acier ont été recyclées en Inde. Les chiffres exacts ne sont pas connus, et le nom de plusieurs acheteurs indiens
reste un mystère.
Cependant certains diront que parmi toute cette poussière de béton existait de l'amiante ; voici ce que pense une société française
qu'on ne peut soupçonner d'être complotiste)
en charge des problèmes liés à la pose l'amiante et ceci notamment au WTC ( Ecolex la maitrise du risque d'amiante https://ecolex.fr/blog/partie-1-le-world-trade-center-et-lamiante/)
Pourquoi y avait-il de l'amiante dans les tours jumelles ?
L'amiante a été utilisé dans les tours jumelles principalement en guise d'isolant. En effet, comme nous avons déjà eu l'occasion de le mentionner dans
de précédents articles de ce blog, l'amiante est connu pour ses propriétés de résistance au feu et à la chaleur, entre autres.
Ainsi, si les entreprises de construction ont appliqué des sprays isolants sur les poutres métalliques des plus bas étages de la tour Nord, c'était dans
le but de renforcer cette structure et de la rendre ignifuge. En effet, elle soutenait les tours, mais aussi les ascenseurs ainsi que les escaliers.
En plus des produits isolants, de l'amiante se trouvait probablement aussi dans le ciment, les sols ainsi que la mousse polystyrène présents dans les tours jumelles.
Quelle est la quantité d'amiante qui a été utilisée dans le World Trade Center ?
On estime que la tour Nord contenait entre 300 et 400 tonnes d'amiante. Or, les tours jumelles contenaient également bien d'autres substances polluantes et
toxiques.
Le Word Trade Center a-t-il été désamianté ?
En 1971, la Port Authority of New York and New Jersey a mis en place une réglementation encadrant le désamiantage ; les premières estimations de retrait
d'amiante dans le Word Trade Center auraient alors représenté un coût frôlant le milliard de dollars.
Au milieu des années 1980, la Port Authority a ainsi établi un large programme de désamiantage du World Trade Center. Or, l'amiante se trouvant jusque
dans la structure-même des immeubles, cette opération de retrait représentait des difficultés liées à la mise en place mais également au coût.
Très peu d'informations ont été publiquement dévoilées quant au désamiantage des tours jumelles. Cependant, certains rapports indiquent que le programme
a permis de retirer seulement une partie de l'amiante présent dans les immeubles. Et pour cause ; les analyses des poussières d'amiante ayant été libérées
suite à l'attentat du 11 septembre confirment que de l'amiante était encore présent à ce moment-là, en 2001.
Donc les twins towers contenait une quantité impressionnante d'amiante, même dans le béton et cela notamment vers les étages du bas là où la
structure
des tours était la plus massive et on nous dit donc que " ce coeur de l'ouvrage amianté comme pas un " n'aurait pas résisté à la chaleur provoquée
par des impacts d'avions situés à plus de 50 étages plus haut... Je ne vois pas comment la qualité du revêtement ignifuge a pu être impacté par l'absence de
dégats et d'incendie en dessous des étages concernés par les crashs surtout en si peu de temps et sur un "enchévêtrement" aussi serré et massif
constitué des poutres colossales et de poutrelles.(Les 47 colonnes du coeur étaient reliées entre elles avec la possibilité de flambement quasiment nulle)..
Et puis si ce type de répartition des poteaux peut peut-être présenter une « fragilité » dès que
les poteaux extérieurs sont sectionnés ou affaiblis par les feux ,l' effondrement des planchers devrait diminuer d'autant les charges sur le noyau central
empêchant celui-ci de s'effondrer à son tour en chute libre.
Mais me direz-vous n'oublions pas + de 500 degrés annoncés ! A ce niveau le métal est rougeoyant,mais il faut dix
minutes à un oxycoupeur
à 3600 degrés pour atteindre ce stade sur un tube d'un centimètre d'épaisseur. Sachant que le métal à une propriété de propagation de la chaleur très diffuse,
(qui se répercute sur l'ensemble du châssis) l'énergie consommée serait immense. bien plus que les calculs charge de kérosène +mobilier le permettent.ET à
propos de la
» très forte conduction thermique » de l'acier, pourquoi ne pas dire que précisément c'est l'inverse qui se produit , cette conductivité diffuse la chaleur tres rapidement
et abaisse la chauffe au point d'amorce. En effet l'acier se ramollit quand il est chauffé A COEUR A PLUS DE 600 °C , c'est à dire en surface à 800 ou 900°C
en fonction des combustibles de l'incendie. Si les température relevées sont de 600°en surface, à coeur la t° est moindre de l'ordre de 3 à 400 ° donc loin
du ramollissement et plus la chaleur se diffuse vers le bas où elle rencontre des masses plus importantes d'acier plus le T° baisse.D'où le NON ressenti des pompiers lorsqu'ils gravissaient les étages
inférieurs.
Autre remarque , dans la VO concernant la structure des twin towers il manque les étages de renforts
(mechanical floors) aux étages 41-42 et 75-76 qui assurent une liaison renforcée entre la structure périphérique et le noyau par rapport aux planchers légers des étages en
openspace comme on on peut le voir sur le dessin . Pourtant ces éléments renforcés auraient du s'opposer du moins momentanément (même très bref) à la chute
libre des tours; mais là encore rien ne s'est produit ...
Enfin ce qu'il y a d'étonnant encore est la singulière corrélation entre les étages où ont eu lieu les travaux de "renforcement et de désamiantage" des
deux tours de 1998 à 2000 et les étages concernés par le crash des avions, quasiment identique (voir schéma ci contre). Et alors qu'est ce que cela prouve ?
me direz vous ?Pour les supporters de la VO cela n'est qu'une pure coincidence mais pour d'autres , cela semble accrédité l'hypothèse que peut-être le
"terrain a été préparé" en vue de futures attaques aériennes ciblées en ces endroits.(mise en place d'explosifs ou équivalents par exemple).
Non non je suis désolé ,mais après toutes ces observations difficile de croire à un ramollissement des colonnes d'acier ayant entrainé une chute gravitationnelle des deux tours tout simplement.